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Ow21 Work In Progress

Ow21 Work In Progress
24 mai 2010

Hibernatus quand tu nous tiens

Hum hum, étant toutes légèrement totalement overbookées, le blog est en phase d'hibernation. Mais la douceur estivale s'installant, le retour n'en sera que plus bourgeonnant !

Bon travail à toutes. Paix et prospérité comme diraient les vulcains.

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26 mars 2010

Yesterday, I was looking my f****** tévééééééé

Hum, bref donc hier soir, pendant que certaines mangeaient des concombres et des carottes très girly tendance, et ben je regardais ma télé, et là miracle ! non pas miracle, mais parfois on se contente de peu, hein, je suis tombée sur un documentaire sur le street art sur arte : Street art, la rébellion éphémère

photo_1221473768Alors certes, ce n'est pas hyper novateur, mais il y avait quand même quelques trucs bien sympa, autres que de l'affichage ou du graph. Avec un gars qui collait une cuillère sur le nez de Napoléon (si si) et un artiste fantôme qui hante le métro de paris pour coller des voiles sur le papier glacé de la pub. 

Le plus intéressant dans ce documentaire, était l'ensemble des réflexions sur le temps dont dispose l'artiste, les conditions, etc. 

Voilou, je le recommande donc, tout comme je recommande à ceux qui ne connaissent pas de lire WAD qui propose très souvent des articles sur des jeunes artistes qui investissent l'espace urbain. 

18 mars 2010

Art contemporain et lien social

Voici les idées principales que j’ai retiré du livre de Claire Moulène. Art contemporain et lien social. 2006. Éditions cercle d'art, Paris. 125p

 

Les artistes contemporains sont conscients des changements qui se sont opéré dans le nouveau monde industriel. Celui-ci est divisé en classes sociales. L’évolution actuelle tend à détruire les anciennes solidarités qui s’organisaient dans le monde du travail tels que les syndicats par exemple.

Dans le monde dans lequel nous vivons il est difficile de s’identifier à une classe sociale. La société est dé hiérarchisé.

L’individu est au centre du processus, il est roi. Selon Claire Moulène l’ordre social n’a plus d’expression politique et il y a un brouillage généralisé des ordres sociaux, économiques et politiques.

Le but des artistes serait de restaurer une perception des clivages fondamentaux… De déchosifier le lien social qui est devenu une sorte de produit de marchandise.

Comment les artistes d’aujourd’hui interviennent-ils dans cet intervalle inédit entre réalité, fiction et critique sociale ?

 Exemple du Musée précaire Albinet en 2004. Par Thomas Hirschorm aux laboratoires d’Aubervilliers. Des chefs d’œuvres du 20ème siècle ont été réunit dans ce lieu. Action en collaboration avec le quartier. Par exemple la buvette était gérée par les familles du quartier. Cependant l’artiste refuse de se voir comme un animateur social. « Le musée précaire est une affirmation […] il est une œuvre d’art et pas un projet socio culturel »

 

L’auteur soulève que selon Dominique Baqué, le seul art politique efficace et convaincant est l’art totalitaire. Il soude les individus en un authentique collectif. Cependant cet art politique a aussi été brandie d’une toute autre manière par les avants gardes.

Il refait surface dans les années 60 et Michel Journac invente l’expression d’art sociologique.

 

Les artistes contemporains sont pour des actions symboliquesIl n’est pas un leadeur mais un accompagnateur (exemple de la vidéo de Mircea Cantor).

Ce sont des alternatives qui permettent de penser autrement le réel. Cependant, l’art continue d’interroger les fondements de la société. Les artistes sont moins directement engagés.

 

Travaux par exemple sur les rassemblements collectifs et sur les fêtes qui sont parmi l’un des motifs les plus emblématiques et positifs de l’action sociale.

 · Philippe Pareno : Défilé d’enfants de 8 ans avec des banderoles « No more reality

· Une de ses expositions était le retransmission d’une fête gigantesque (qui avait été scénarisée par l’artiste, avec plusieurs ambiances) qui avait eu lieu dans l’espace d’exposition avant le vernissage. Ainsi les visiteurs déambulaient dans un espace plein des restes d’une fête. Aucune vidéo, aucune photo, seule la parole restait. Cela permettait au visiteur de restituer la soirée mentalement

C’est donc une action collective et politique mais sous la forme de la dérision.

 

Est ce que le cadre de l’activité artistique (le musée) a connu lui aussi les mêmes mutations ?

« Certains artistes cherchent à s’investir dans une action commune envisageant le spectateur comme un citoyen et un être politique. » A qui s’adresse t’on ? Avec qui fait on le lien ?

 

· Pendant la nuit blanche Maroussia Rebecq dispose des vêtements fournis par Emaüs sur le boulevard de Belleville, les passants les essayent, défilent sur un podium. Cela reprend l’idée du quart d’heure de célébrité de Warhol.

 

Egalement les artistes ont recourt à l’illégalité pour s’approprier une nouvelle légitimité

 

· AAA corp : Outil de résistance, activateur d’attitudes politiques, sociales économiques dans une forme artistique à l’intérieur du monde de l’art.  Exemple AAA corps transmission : radio pirate mobile diffusant discours, musiques et sons inaudibles. Cela questionne l’enjeux majeur de notre société : La maîtrise de l’information et de la diffusion.

 

· Vacuum cleaner : Jeune activiste altermondialiste. Il passe l’aspirateur dans les couloirs de Wall Street pour nettoyer les déchets du capitalisme

La télé réalité est un laboratoire d’observation sociale passionnant pour les artistes. Elle est un mode de sociabilité contemporain.

 

· Exemple : Geôliers et prisonniers volontaires filmés plusieurs jours par des caméras de surveillance dans une prison reconstituée. Arthur Zmijewski

 

Voilà je n’ai pas tout à fait terminé le livre. J’espère cependant apporter quelques lumières quant à ce qui peut lier l’artiste à la société et comment les artistes d’aujourd’hui travaillent ce lien social.

 

17 mars 2010

Daily

Voici ma part de recherche sur le quotidien.

En vidéo j'avoue ne pas avoir trouvé grand chose dans les fracs, mais en regardant à nouveau la vidéo de Warhol et de son hamburger j'ai découvert deux autres vidéos dont celle - ci : Sleep -> http://www.youtube.com/watch?v=ErSj1GkBF3M. A mettre en regard éventuellement avec Pierrick Sorrin
.

Capture_d__cran_2010_03_17___22Je voulais également parler d'un artiste de la galerie Vallois dont j'apprécie le travail et il me semble que deux de ses œuvres pourraient se rapprocher de notre thématique.
Le mouvement perpétuel
, 2005 chat empaillé, résine, cuir, métal, moteur
40 x 50 x 30 cm environ


Ou comment la juxtaposition de deux lieux communs (« le chat retombe toujours sur ses pattes » et « la tartine tombe toujours du côté du beurre ») permet la démonstration de l’existence possible du mouvement perpétuel.

Cette installation remet en cause les forces physiques auxquelles nous sommes habituées et qui rythment notre quotidien. La tartine de beurre fait également référence au rituel du petit déjeuner par exemple. Éventuellement à mettre en regard (parce que j'aime bien mettre en regard!)avec les vidéos de Joël Bartolomeo dont nous avait parlé Vanessa.


Capture_d__cran_2010_03_17___22Autre travail de Julien Berthier : un véhicule censé révolutionner notre quotidien et en même temps de nous mettre à l'écologie : la para site : La para site est un véhicule totalement indépenfant qui possèdes deux modes de propulsions fondés sur la négociation : une rallonge à brancher dans la rue (commerçants, voisins, etc) ou des ventouses à fixer sur d'autres voitures pour se laisser tracter.
  Elle permet également de créer des liens avec les gens de son quartier, de changer son mode de déplacement.



Les travaux de Julien Berthier sont donc plutôt des objets qui bouleversent le quotidien.

17 mars 2010

Vidéos Frac pour l'exposition à la fac

Concernant le Frac Paca et Picardie, voici des informations et des travaux d'artistes qui traitent du quotidien :

1/ Informations sur Absalon : (artiste du Frac PACA)

"fulgurance opposée au temps
Absalon et Felix Gonzales-Torres commencent à exposer dans les années 1990, très peu de temps avant leur mort. Leurs œuvres, moins fournies que celles des autres artistes exposés, sont remarquablement évocatrices et sont le témoin d’une réflexion profonde exprimée avec concision. La conscience d’une existence éphémère, la révolte et le renoncement face à l’inéluctabilité de leur sort offrent au spectateur une fulgurance bouleversante.

Chaque auteur est cantonné dans une salle, mais Absalon, de son vrai nom Eshel Meir (1964-1993), organise en quelque sorte son propre espace. L’artiste israélien, mort du SIDA peu avant ses trente ans, est en effet l’auteur d’une série inachevée de Cellules destinées à être occupées par lui dans six grandes villes du monde, dont la n°3 (New-York), créée en 1992, occupe la majeure partie de son espace d’exposition. Cette construction, sorte de module d’habitation d’une blancheur immaculée, semble l’équivalent des tombeaux Égyptiens de l’antiquité, un vaisseau permettant à l’âme de pouvoir continuer ses activités journalières par-delà la mort. Elle fait écho à la vidéo Solutions de la même année, où l’artiste effectue des gestes d’une quotidienne intimité devant la caméra, dans le silence le plus total. A cet apaisement apparent s’opposent les vidéos Bataille dans laquelle l’artiste, Don Quichotte contemporain, se bat contre les assauts inéluctables de l’invisible, et Bruits, qui fait retentir la colère et la révolte d'Absalon en gros plan, peu à peu gagné par la lassitude, pour finir mutique, son regard désarmant interrogeant sans concession le spectateur par-delà l’objectif."

2/ liens pour voir les vidéos de Bartolomeo (Frac PACA)

http://www.joelbartolomeo.com/video/lechatquidort.mov

http://www.joelbartolomeo.com/video/lejeudidelascension.mov

http://www.joelbartolomeo.com/video/familleA.mov

3/ informations et liens pour voir les vidéos de Sorin (Frac PACA)

A partir de 1987 , Pierrick Sorin réalise une série de courts “autofilmages”. Seul, sous l'unique regard d'une caméra Super 8, il dévoile des instants - parfois très intimes - de sa vie, sous forme de petits récits faussement naifs et particulièrement ironiques où humour et gravité font bon ménage.

Les plus connus parmi ces “autofilmages” sont : “Réveils” et “Je m'en vais chercher mon linge”. Dans le premier, Sorin se filme, chaque matin, pendant un mois, au moment même où il est réveillé par son poste de radio. A chaque fois, il prend la caméra à témoins et déclare qu'il se sent fatigué, qu'il faut vraiment qu'il se couche plus tôt... Apparement, son intention n'est jamais mise à exécution car on le retrouve chaque jour aussi fatigué. Le film est ici utilisé comme l'outil d'un simple constat sur ces petits échecs du quotidien que tout le monde connaît. La répétition des “ réveils” crée un effet comique derrière lequel transparaît un drame plus profond: celui d'une incapacité à appréhender correctement une relation au monde.

http://www.dailymotion.com/video/x2o931_les-r%C3%A9veils-pierrick-sorin_shortfilms

Pauline


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17 mars 2010

Recherches quotidien

Le_quotidien

Bonjour,

Voici le même document que la dernière fois mais complété par mes recherches

Fanny

16 mars 2010

quotidien, vidéos artistes et amateurs

J’ai procédé à une sélection de travaux issus du FRAC BRETAGNE que nous pourrions éventuellement utiliser pour notre projet. Je suis allée sur divers sites pour obtenir des informations sur deux vidéos que j’avais sélectionnées.

- La vidéo de CAHEN Robert, Juste le temps, 1983.

Les thèmes que j'aborde dans mon travail se trouvent reliés à mon histoire personnelle : c'est Tarkovski qui écrit dans "Le temps scellé " que nous portons tous en nous, des histoires dignes de devenir des objets filmiques. 

Le choix du ralenti par exemple, qui traverse toute mon œuvre, reste un des points primordiaux de mon écriture : il tente de raconter, entre autres, ce qui ne se voit pas, l'invisible, mais aussi dans son étirement, de proposer une partition nouvelle, une lecture ouverte pour le spectateur qui va se projeter dans les images ralenties et qui alors peut se raconter sa propre histoire. Il y a aussi la tension, le suspens de ce qui doit arriver, contenu dans le "ralenti", et puis comme le disait si bien Roland Barthes, il y a le "ralentir pour avoir le temps de voir enfin" (dans son livre "La chambre claire").

Fait intéressant, Cahen révèle cette structure par des éléments narratifs dérivant du cinéma : dans Juste le temps, le motif narratif d’un voyage en train sert à imbriquer différentes expériences de temps associées à une femme assise dans un compartiment de train et à un homme qui entre dans ce compartiment. Lorsqu’ils s’observent l’un l’autre et regardent par la fenêtre, l’image est traitée temporellement par balayage. Dans une interview avec Jean-Paul Fargier, Cahen expliquait que « Pour Juste le temps c'était la position du voyageur assis. L'impression que ce voyageur a de ce qui défile. Je voulais montrer que quand on regarde loin, on ne retient pas la même chose que quand on regarde près. »

 

Au regard de ces quelques apports informationnels sur le travail de Robert Cahen, j’ai pensé qu’il pourrait être intéressant de garder cette vidéo car elle a, à mon sens, un lien avec notre orientation sur le quotidien : elle traite à la fois du rapport au temps et à l’espace environnant mais aussi,  des rapports humains.

De plus, étant donné que le moyen de transport mis en scène est celui que beaucoup d’entre nous emprunte (de façon quotidienne ou du moins, de façon régulière), le public de notre exposition pourrait se sentir concerné. En effet, lui aussi est amené à adopter une «attitude de voyageur » vis-à-vis des espaces du train en choisissant ce qu’il observe et ce qu’il en retient. Un voyage dans un wagon est un moment intime sous tous les rapports : le voyageur peut chercher à établir un contact humain par des regards discrets (sorte de jeu du chat et de la souris entre hommes et femmes), de pousser plus loin la proximité en conversant avec d’autres voyageurs ou en choisissant de rester dans un univers plus individuel et personnel par l’observation du paysage extérieur (il est plongé dans des pensées intimes ou plus encore, « dans les bras de Morphée »).

Cette vidéo permettrait à notre public de se reconnaître par la situation filmée, de s’identifier aux attitudes des acteurs et de les amener à réfléchir sur leur rapport au quotidien. La manière dont l’artiste filme le tout est intéressante.

- La vidéo de CHERNYSHEVA Olga, Marmot, 1999.

Suivre les moscovites dans leur vie de tous les jours, pas à pas, dans le métro, au marché, dans la rue ou les magasins, est pour Olga Chernysheva le moyen d'apporter un témoignage du quotidien sur une société en mutation.

Pour Marmot: This is how it all was. One day in November I decided to take my camera and go to a park, where I had been shooting dances on an open dance floor a couple of times before. It was November 7, the day of October revolution, but it doesn’t matter. It was just a common day off for me, as it was the year 1999, there were no big public celebrations anymore. Everyone was just staying at home or went out for a walk. On my way to the subway I heard the buzz of megaphones and loudspeakers. There was a demonstration walking up Tverskaya street. Red banners, poorly dressed people. Communist mottos. There was a woman. She was standing near the subway and fidgeting, making some fussy movements. Looking at her I had a feeling that this force of collectivism that makes people go out for a demonstration is not that powerful. It tries to overwhelm a person in full, with one’s insecurities. I shot this episode on my camera. Later on, at home when I was looking at the footage, my daughter was playing Beethoven’s Marmot in another room. The song of a lonely wayfarer, mistakes of a young pianist and a video portrait of a

Née en 1962 à Moscou. Vit et travaille entre Amsterdam et Moscou. Récentes expositions : Fiac (Paris, 2002), Tretjakov State Gallery (Moscou, 2001), Musée des Beaux Arts Lausanne (2000), galerie Carre Noir, Paris.

 

J’ai trouvé en naviguant sur Internet, deux types de vidéos qui pourrait nous aider dans notre réflexion sur le projet. La première (http://www.wat.tv/video/quotidien-mec-qui-assure-22s75_ha7w_.html) porte sur une vidéo d’amateurs drôle dans laquelle ils font une sorte de « sublimation » du quotidien. Ils ont comme le pouvoir de rendre des tâches quotidiennes banales et inintéressantes, prodigieuses et captivantes (de réels défis sont ici perceptibles). L’idée avec cette vidéo serait de s’en servir pour donner une image différente, plus drôle d’un quotidien souvent monotone. A terme, l’intérêt est que le visiteur se prenne au jeu de la vidéo et de ses performances, qu’il s’en amuse et pourquoi pas, que la vidéo soit incitative à des partages d’expériences inattendus.

La seconde référence vidéo porte sur un artiste d’art contemporain tourangeaux qui exécute des œuvres d’art en direct. L’idée est ici de confronter le visiteur à l’univers et à la technique d’un artiste en temps réel. Le visiteur pourrait ainsi se sentir plus proche d’un art auquel il n’a que peu de connaissance. Cette vidéo permet une véritable expérience dans la naissance d’une œuvre d’art (aspect participatif). De plus, le fond sonore employé est volontaire angoissant, stressant comme pour conditionner le spectateur dans le sérieux de sa mission.

Voici les liens vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=qBg6j1540OI&feature=related  

  http://www.youtube.com/watch?v=v6UsKpWUPvk

Pour terminer une référence d’un ouvrage qui peut peut-être nous être utile : voici le lien avec le descriptif => http://www.espacestemps.net/document608.html

15 mars 2010

Vidéos, vidéos

Voici deux vidéos qui peuvent être intéressantes sur la thématique du quotidien.,


1ère vidéo : un lien vous permet de voir la vidéo et l'autre le contexte d'exposition..

Verena Schaukal, Tetra Parc # 1, 2 minutes, Installation vidéo interactive, 2008

http://verenaschaukal.de/ot.htm

http://verenaschaukal.de/tetrapark2.htm en situation

Nous sommes dans la cuisine et sur le plan de travail une nature morte : une cafetière, des tasses, du sucre, quelques gâteaux et une brique de lait....les reste d'un petit déjeuner ou d'un goûter. Mais cette nature morte, n'est pas si morte que ça, les vaches ruminent tranquillement sur la brique, cet espace de paix réservé pour elles, bien hermétique. Il parait que rien ne pourra jamais déranger ce paradis terrestre.

2ème vidéo

Alain k, Mauvaises Habitudes, Installation vidéo : deux écrans en boucles

http://www.alain-k.net/mauvaise/page3.html

Pauline

15 mars 2010

Quelques citations

Afin de continuer à nourrir notre réflexion sur le quotidien, je trouvais ça intéressant d'avoir quelques citations en tête...Évidemment, elles n'ont pas les mêmes statuts qu'elles soient écrites par un philosophe, un romancier, un écrivain, un journaliste, un artiste.... Mais leur diversité est toutefois enrichissante...

> Toute petite tâche quotidienne et quotidiennement accomplie, donne de meilleurs résultats que de sporadiques travaux d'Hercule.   [Anthony Trollope]

> La vie quotidienne aliène et voile la vraie vie, la vie quotidienne permet trop de compromis.   [Hélène Rioux] 

> Le meilleur remède contre la vie quotidienne, c'est le culte du quotidien, dans sa fluidité.   [Frédéric Beigbeder]

> Le quotidien s'invente avec mille manières de braconner.  [Michel de Certeau]

> Tristesse du réveil. Il s'agit de redescendre, de s'humilier. L'homme retrouve sa défaite : le quotidien.   [Henri Michaux]

> Si nous étions lucides, instantanément l'horreur de la vie quotidienne nous laisserait stupides.   [Henry Miller]

> On est toujours ingrat pour le don du nécessaire, jamais pour le don du superflu. On en veut à qui vous donne le pain quotidien, on est reconnaissant à qui vous donne une parure.   [Victor Hugo]

> Il faut se dégager soi-même de la prison des affaires quotidiennes et publiques.  [Epicure]

> L'art lave notre âme de la poussière du quotidien.   [Pablo Picasso]


 

> On parle du courage d'un condamné à mort qui marche jusqu'au lieu de l'exécution : il en faut parfois autant pour garder une façade acceptable en allant au-devant de la souffrance quotidienne.  [Graham Greene]

Pauline

15 mars 2010

video/appart 2010

Je vous avais parlé de Vidéo Appart 2008, expositions de vidéos dans des appartements privés à Paris ouvert à tous.....

Et bien, j'ai l'honneur de vous informer que Vidéo Appart 2010 a commencé...
N'hésitez pas à parcourir le site internet, qui donne plus de détails sur l'originalité du projet

Ci joint le lien

http://video-appart.com.tatianacruz.fr/index.php

Pauline

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