Hum hum, étant toutes légèrement totalement overbookées, le blog est en phase d'hibernation. Mais la douceur estivale s'installant, le retour n'en sera que plus bourgeonnant !
Bon travail à toutes. Paix et prospérité comme diraient les vulcains.
Hum, bref donc hier soir, pendant que certaines mangeaient des concombres et des carottes très girly tendance, et ben je regardais ma télé, et là miracle ! non pas miracle, mais parfois on se contente de peu, hein, je suis tombée sur un documentaire sur le street art sur arte : Street art, la rébellion éphémère
Alors certes, ce n'est pas hyper novateur, mais il y avait quand même quelques trucs bien sympa, autres que de l'affichage ou du graph. Avec un gars qui collait une cuillère sur le nez de Napoléon (si si) et un artiste fantôme qui hante le métro de paris pour coller des voiles sur le papier glacé de la pub.
Le plus intéressant dans ce documentaire, était l'ensemble des réflexions sur le temps dont dispose l'artiste, les conditions, etc.
Voilou, je le recommande donc, tout comme je recommande à ceux qui ne connaissent pas de lire WAD qui propose très souvent des articles sur des jeunes artistes qui investissent l'espace urbain.
Voici les idées principales que j’ai retiré du livre de
Claire Moulène. Art contemporain et lien social. 2006. Éditions cercle d'art, Paris. 125p
Les artistes contemporains sont conscients des changements
qui se sont opéré dans le nouveau monde industriel. Celui-ci est divisé en
classes sociales. L’évolution actuelle tend à détruire les anciennes
solidarités qui s’organisaient dans le monde du travail tels que les syndicats
par exemple.
Dans le monde dans lequel nous vivons il est difficile de
s’identifier à une classe sociale. La société est dé hiérarchisé.
L’individu est au centre du processus, il est roi. Selon
Claire Moulène l’ordre social n’a plus d’expression politique et il y a un
brouillage généralisé des ordres sociaux, économiques et politiques.
Le but des artistes serait de restaurer une perception des
clivages fondamentaux… De déchosifier le lien social qui est devenu une sorte
de produit de marchandise.
Comment les artistes d’aujourd’hui interviennent-ils dans
cet intervalle inédit entre réalité, fiction et critique sociale ?
Exemple du Musée précaire Albinet en 2004. Par Thomas Hirschorm aux
laboratoires d’Aubervilliers. Des chefs d’œuvres du 20ème siècle ont
été réunit dans ce lieu. Action en collaboration avec le quartier. Par exemple
la buvette était gérée par les familles du quartier. Cependant l’artiste refuse
de se voir comme un animateur social. « Le
musée précaire est une affirmation […] il est
une œuvre d’art et pas un projet socio culturel »
L’auteur soulève que selon Dominique Baqué, le seul art politique
efficace et convaincant est l’art totalitaire. Il soude les individus en un
authentique collectif. Cependant cet art politique a aussi été brandie d’une
toute autre manière par les avants gardes.
Il refait surface dans les années 60 et Michel Journac invente
l’expression d’art sociologique.
Les
artistes contemporains sont pour des actions symboliquesIl n’est pas un leadeur
mais un accompagnateur (exemple de la vidéo de Mircea Cantor).
Ce sont des
alternatives qui permettent de penser autrement le réel. Cependant, l’art
continue d’interroger les fondements de la société. Les artistes sont moins
directement engagés.
Travaux par exemple sur les rassemblements collectifs et sur les fêtes
qui sont parmi l’un des motifs les plus emblématiques et positifs de l’action
sociale.
· Philippe Pareno : Défilé d’enfants de 8 ans
avec des banderoles « No more reality
· Une de ses expositions était le retransmission
d’une fête gigantesque (qui avait été scénarisée par l’artiste, avec plusieurs
ambiances) qui avait eu lieu dans l’espace d’exposition avant le vernissage.
Ainsi les visiteurs déambulaient dans un espace plein des restes d’une fête.
Aucune vidéo, aucune photo, seule la parole restait. Cela permettait au
visiteur de restituer la soirée mentalement
C’est donc
une action collective et politique mais sous la forme de la dérision.
Est ce que le cadre de l’activité artistique (le musée) a connu lui
aussi les mêmes mutations ?
« Certains
artistes cherchent à s’investir dans une action commune envisageant le spectateur
comme un citoyen et un être politique. » A qui s’adresse t’on ? Avec qui
fait on le lien ?
· Pendant la nuit blanche Maroussia Rebecq
dispose des vêtements fournis par Emaüs sur le boulevard de Belleville, les
passants les essayent, défilent sur un podium. Cela reprend l’idée du quart
d’heure de célébrité de Warhol.
Egalement
les artistes ont recourt à l’illégalité pour s’approprier une nouvelle
légitimité
· AAA corp : Outil de résistance, activateur
d’attitudes politiques, sociales économiques dans une forme artistique à
l’intérieur du monde de l’art. Exemple AAA corps transmission : radio pirate mobile
diffusant discours, musiques et sons inaudibles. Cela questionne l’enjeux majeur de notre société : La maîtrise de
l’information et de la diffusion.
· Vacuum cleaner : Jeune activiste
altermondialiste. Il passe l’aspirateur dans les couloirs de Wall Street pour
nettoyer les déchets du capitalisme
La télé
réalité est un laboratoire d’observation sociale
passionnant pour les artistes. Elle est un mode de sociabilité contemporain.
· Exemple : Geôliers et prisonniers
volontaires filmés plusieurs jours par des caméras de surveillance dans une
prison reconstituée. Arthur Zmijewski
Voilà je n’ai pas tout à fait terminé le livre. J’espère cependant
apporter quelques lumières quant à ce qui peut lier l’artiste à la société et
comment les artistes d’aujourd’hui travaillent ce lien social.
En vidéo j'avoue ne pas avoir trouvé grand chose dans les fracs, mais en
regardant à nouveau la vidéo de Warhol et de son hamburger j'ai découvert deux
autres vidéos dont celle - ci : Sleep ->
http://www.youtube.com/watch?v=ErSj1GkBF3M. A mettre en regard éventuellement
avec Pierrick Sorrin
.
Je voulais également parler d'un artiste de la galerie Vallois dont j'apprécie
le travail et il me semble que deux de ses œuvres pourraient se rapprocher de
notre thématique. Le mouvement perpétuel, 2005 chat empaillé, résine, cuir, métal, moteur
40 x 50 x 30 cm environ
Ou comment la juxtaposition de deux lieux communs (« le chat retombe
toujours sur ses pattes » et « la tartine tombe toujours du côté du
beurre ») permet la démonstration de l’existence possible du mouvement
perpétuel.
Cette installation remet en cause les forces physiques auxquelles nous sommes
habituées et qui rythment notre quotidien. La tartine de beurre fait également
référence au rituel du petit déjeuner par exemple. Éventuellement à mettre en
regard (parce que j'aime bien mettre en regard!)avec les vidéos de Joël
Bartolomeo dont nous avait parlé Vanessa.
Autre travail de Julien Berthier : un véhicule censé révolutionner notre
quotidien et en même temps de nous mettre à l'écologie : la para site : La para site est un véhicule totalement indépenfant qui possèdes deux modes de propulsions fondés sur la négociation : une rallonge à brancher dans la rue (commerçants, voisins, etc) ou des ventouses à fixer sur d'autres voitures pour se laisser tracter.
Elle permet également de créer des liens avec les gens de son quartier, de
changer son mode de déplacement.
Les travaux de Julien Berthier sont donc plutôt des objets qui bouleversent le quotidien.
Concernant le Frac Paca et Picardie, voici des informations et des travaux d'artistes qui traitent du quotidien :
1/ Informations sur Absalon : (artiste du Frac PACA)
"fulgurance opposée au temps Absalon
et Felix Gonzales-Torres commencent à exposer dans les années 1990,
très peu de temps avant leur mort. Leurs œuvres, moins fournies que
celles des autres artistes exposés, sont remarquablement évocatrices
et sont le témoin d’une réflexion profonde exprimée avec
concision. La conscience d’une existence éphémère, la révolte
et le renoncement face à l’inéluctabilité de leur sort offrent
au spectateur une fulgurance bouleversante.
Chaque auteur est
cantonné dans une salle, mais Absalon, de son vrai nom Eshel Meir
(1964-1993), organise en quelque sorte son propre espace. L’artiste
israélien, mort du SIDA peu avant ses trente ans, est en effet
l’auteur d’une série inachevée de Cellules destinées
à être occupées par lui dans six grandes villes du monde, dont la
n°3 (New-York), créée en 1992, occupe la majeure partie de son
espace d’exposition. Cette construction, sorte de module
d’habitation d’une blancheur immaculée, semble l’équivalent
des tombeaux Égyptiens de l’antiquité, un vaisseau permettant à
l’âme de pouvoir continuer ses activités journalières par-delà
la mort. Elle fait écho à la vidéo Solutions de la même
année, où l’artiste effectue des gestes d’une quotidienne
intimité devant la caméra, dans le silence le plus total. A cet
apaisement apparent s’opposent les vidéos Bataille dans
laquelle l’artiste, Don Quichotte contemporain, se bat contre les
assauts inéluctables de l’invisible, et Bruits, qui fait
retentir la colère et la révolte d'Absalon en gros plan, peu à peu
gagné par la lassitude, pour finir mutique, son regard désarmant
interrogeant sans concession le spectateur par-delà l’objectif."
2/ liens pour voir les vidéos de Bartolomeo (Frac PACA)
3/ informations et liens pour voir les vidéos de Sorin (Frac PACA)
A partir de 1987 , Pierrick Sorin réalise une série
de courts “autofilmages”. Seul, sous l'unique regard d'une caméra
Super 8, il dévoile des instants - parfois très intimes - de sa
vie, sous forme de petits récits faussement naifs et
particulièrement ironiques où humour et gravité font bon ménage.
Les plus connus parmi ces “autofilmages” sont :
“Réveils” et “Je m'en vais chercher mon linge”. Dans le
premier, Sorin se filme, chaque matin, pendant un mois, au moment
même où il est réveillé par son poste de radio. A chaque fois, il
prend la caméra à témoins et déclare qu'il se sent fatigué,
qu'il faut vraiment qu'il se couche plus tôt... Apparement, son
intention n'est jamais mise à exécution car on le retrouve chaque
jour aussi fatigué. Le film est ici utilisé comme l'outil d'un
simple constat sur ces petits échecs du quotidien que tout le monde
connaît. La répétition des “ réveils” crée un effet comique
derrière lequel transparaît un drame plus profond: celui d'une
incapacité à appréhender correctement une relation au monde.
J’ai procédé à une sélection de
travaux issus du FRAC BRETAGNE que nous pourrions éventuellement utiliser
pour notre projet. Je suis allée sur divers sites pour obtenir des informations
sur deux vidéos que j’avais sélectionnées.
-La vidéo de CAHEN
Robert, Juste le temps, 1983.
Les thèmes que j'aborde dans mon travail se trouvent reliés à mon
histoire personnelle : c'est Tarkovski qui écrit dans "Le temps scellé
" que nous portons tous en nous, des histoires dignes de devenir des
objets filmiques.
Le choix du ralenti par exemple, qui traverse toute mon œuvre, reste un
des points primordiaux de mon écriture : il tente de raconter, entre autres, ce
qui ne se voit pas, l'invisible, mais aussi dans son étirement, de proposer une
partition nouvelle, une lecture ouverte pour le spectateur qui va se projeter
dans les images ralenties et qui alors peut se raconter sa propre histoire. Il
y a aussi la tension, le suspens de ce qui doit arriver, contenu dans le
"ralenti", et puis comme le disait si bien Roland Barthes, il y a le
"ralentir pour avoir le temps de voir enfin" (dans son livre "La
chambre claire").
Fait intéressant, Cahen révèle cette structure par des éléments
narratifs dérivant du cinéma : dans Juste
le temps, le motif narratif d’un voyage en train sert à imbriquer
différentes expériences de temps associées à une femme assise dans un
compartiment de train et à un homme qui entre dans ce compartiment. Lorsqu’ils
s’observent l’un l’autre et regardent par la fenêtre, l’image est traitée temporellement
par balayage. Dans une interview avec Jean-Paul Fargier, Cahen expliquait que
« Pour Juste le temps
c'était la position du voyageur assis. L'impression que ce voyageur a de ce qui
défile. Je voulais montrer que quand on regarde loin, on ne retient pas la même
chose que quand on regarde près. »
Au regard de ces quelques apports
informationnels sur le travail de Robert Cahen, j’ai pensé qu’il pourrait être
intéressant de garder cette vidéo car elle a, à mon sens, un lien avec notre
orientation sur le quotidien : elle traite à la fois du rapport au temps
et à l’espace environnant mais aussi, des
rapports humains.
De plus, étant donné que le moyen
de transport mis en scène est celui que beaucoup d’entre nous emprunte (de
façon quotidienne ou du moins, de façon régulière), le public de notre
exposition pourrait se sentir concerné. En effet, lui aussi est amené à adopter
une «attitude de voyageur » vis-à-vis des espaces du train en choisissant
ce qu’il observe et ce qu’il en retient. Un voyage dans un wagon est un moment
intime sous tous les rapports : le voyageur peut chercher à établir un
contact humain par des regards discrets (sorte de jeu du chat et de la souris
entre hommes et femmes), de pousser plus loin la proximité en conversant avec d’autres
voyageurs ou en choisissant de rester dans un univers plus individuel et
personnel par l’observation du paysage extérieur (il est plongé dans des
pensées intimes ou plus encore, « dans les bras de Morphée »).
Cette vidéo permettrait à notre
public de se reconnaître par la situation filmée, de s’identifier aux attitudes
des acteurs et de les amener à réfléchir sur leur rapport au quotidien. La
manière dont l’artiste filme le tout est intéressante.
-La vidéo de CHERNYSHEVA
Olga, Marmot, 1999.
Suivre les moscovites dans leur vie de tous
les jours, pas à pas, dans le métro, au marché, dans la rue ou les magasins,
est pour Olga Chernysheva le moyen d'apporter un témoignage du quotidien sur
une société en mutation.
Pour Marmot: This is
how it all was. One day in November I decided to take my camera and go to a
park, where I had been shooting dances on an open dance floor a couple of times
before. It was November 7, the day of October revolution, but it doesn’t
matter. It was just a common day off for me, as it was the year 1999, there
were no big public celebrations anymore. Everyone was just staying at home or
went out for a walk. On my way to the subway I heard the buzz of megaphones and
loudspeakers. There was a demonstration walking up Tverskaya street. Red
banners, poorly dressed people. Communist mottos. There was a woman. She was
standing near the subway and fidgeting, making some fussy movements. Looking at
her I had a feeling that this force of collectivism that makes people go out
for a demonstration is not that powerful. It tries to overwhelm a person in full,
with one’s insecurities. I shot this episode on my camera. Later on, at home
when I was looking at the footage, my daughter was playing Beethoven’s Marmot
in another room. The song of a lonely wayfarer, mistakes of a young pianist and
a video portrait of a
Née en 1962 à Moscou. Vit et travaille entre Amsterdam et Moscou.
Récentes expositions : Fiac (Paris, 2002), Tretjakov State Gallery (Moscou,
2001), Musée des Beaux Arts Lausanne (2000), galerie Carre Noir, Paris.
J’aitrouvé en naviguant sur Internet, deux types
de vidéos qui pourrait nous aider dans notre réflexion sur le projet. La
première (http://www.wat.tv/video/quotidien-mec-qui-assure-22s75_ha7w_.html)
porte sur une vidéo d’amateurs drôle dans laquelle ils font une sorte de
« sublimation » du quotidien. Ils ont comme le pouvoir de rendre des
tâches quotidiennes banales et inintéressantes, prodigieuses et captivantes (de
réels défis sont ici perceptibles). L’idée avec cette vidéo serait de s’en
servir pour donner une image différente, plus drôle d’un quotidien souvent
monotone. A terme, l’intérêt est que le visiteur se prenne au jeu de la vidéo
et de ses performances, qu’il s’en amuse et pourquoi pas, que la vidéo soit
incitative à des partages d’expériences inattendus.
La seconde référence vidéo porte
sur un artiste d’art contemporain tourangeaux qui exécute des œuvres d’art en
direct. L’idée est ici de confronter le visiteur à l’univers et à la technique
d’un artiste en temps réel. Le visiteur pourrait ainsi se sentir plus proche
d’un art auquel il n’a que peu de connaissance. Cette vidéo permet une
véritable expérience dans la naissance d’une œuvre d’art (aspect participatif).
De plus, le fond sonore employé est volontaire angoissant, stressant comme pour
conditionner le spectateur dans le sérieux de sa mission.
Pour terminer une référence d’un ouvrage qui peut peut-être
nous être utile : voici le lien avec le descriptif => http://www.espacestemps.net/document608.html
Nous
sommes dans la cuisine et sur le plan de travail une nature morte :
une cafetière, des tasses, du sucre, quelques gâteaux et une brique
de lait....les reste d'un petit déjeuner ou d'un goûter. Mais cette
nature morte, n'est pas si morte que ça, les vaches ruminent
tranquillement sur la brique, cet espace de paix réservé pour
elles, bien hermétique. Il parait que rien ne pourra jamais déranger
ce paradis terrestre.
2ème vidéo
Alain
k, Mauvaises Habitudes, Installation vidéo : deux écrans en boucles
Afin de continuer à nourrir notre réflexion sur le quotidien, je trouvais ça intéressant d'avoir quelques citations en tête...Évidemment, elles n'ont pas les mêmes statuts qu'elles soient écrites par un philosophe, un romancier, un écrivain, un journaliste, un artiste.... Mais leur diversité est toutefois enrichissante...
> Toute petite tâche quotidienne et
quotidiennement accomplie, donne de meilleurs résultats que de
sporadiques travaux d'Hercule. [Anthony Trollope]
>
La vie
quotidienne aliène et voile la vraie vie, la vie quotidienne permet
trop de compromis. [Hélène Rioux]
>
Le meilleur remède contre la vie quotidienne, c'est le culte du
quotidien, dans sa fluidité. [Frédéric Beigbeder]
>
Le quotidien s'invente avec mille manières de braconner.
[Michel de Certeau]
>
Tristesse du réveil. Il s'agit de redescendre, de s'humilier.
L'homme retrouve sa défaite : le quotidien. [Henri Michaux]
>
Si nous étions lucides, instantanément l'horreur de la vie
quotidienne nous laisserait stupides. [Henry Miller]
>
On est toujours ingrat pour le don du nécessaire, jamais pour le don
du superflu. On en veut à qui vous donne le pain quotidien, on est
reconnaissant à qui vous donne une parure. [Victor Hugo]
>
Il faut se dégager
soi-même de la prison des affaires quotidiennes et publiques.
[Epicure]
>
L'art lave notre âme de la poussière du quotidien. [Pablo
Picasso]
>
On parle du courage d'un condamné à mort qui marche jusqu'au lieu
de l'exécution : il en faut parfois autant pour garder une façade
acceptable en allant au-devant de la souffrance quotidienne.
[Graham Greene]
Je vous avais parlé de Vidéo Appart 2008, expositions de vidéos dans des appartements privés à Paris ouvert à tous.....
Et bien, j'ai l'honneur de vous informer que Vidéo Appart 2010 a commencé... N'hésitez pas à parcourir le site internet, qui donne plus de détails sur l'originalité du projet